Plagiat + Grands Gagnants du Système+ Solorkestar

jeudi 31 août | 20h00 Concerts & spectacles

Tarifs: 8/6 euros


Soirée concerts avec Plagiat, Grands Gagnants du Système & Solorkestar

[plaʒia] est une faute d’ordre moral.

[plaʒia] est la troisième voie de garage du rap game – the nu sound of
rap 2 cum :
[plaʒia] est le meilleur mauvais goût qui chie droit dans ses bottes,
[plaʒia] fait du hip hop mainstream amateur.

Bien que les Plagiat Bros veulent être des vrais rappeurs :
Big MC Nano et Missy Schneck One Two ne sont pas des purs produits,
ils sont coupés à d’autres excripients,
traces éventuelles de matières et de fruits à coke.

Big MC Nano / Lord O’ : batterie, chant, machines libres
MC Missy Messiah Schneck One Two / Da Very Prophet : basse, chant,
machines libres, claviers

*Grands Gagnants du Système*

Les grands gagnants du système, c’est eux, c’est vous, c’est nous. Bref,
c’est tous ceux qui n’ont pas peur de s’ambiancer jusqu’au bout de la
night, carte de fidélité en main. David H., Arnold S. et Danny D. vous
emmènent faire un tour de bolide au supermarché et choisissent la playlist.

Distribution

Arnolde DeVita – Guitare 2000
Dannie Blackoblacko – Batterie 2000
Davide Higelin – Clavibasse 2000

SON : https://ammd.net/upload/teaser_ggds.flac

*Solorkestar*

# SITE WEB : https://solorkestar.net

SolOrkestar, c’est l’orchestre en solo: les péripéties d’un musicien seul face à une charrette, une loopstation et une demi-douzaine d’instruments des Balkans.

Au centre d’une installation unique en son genre, l’étrange Vlad Lăutarescu passe d’un instrument à l’autre : les phrases musicales se construisent, s’harmonisent en direct, et un orchestre invisible se met peu à peu en place, exhumant des thèmes traditionnels de la culture roumaine et tzigane.

Aux commandes du SolOrkestar, Vlad s’éprend de liberté, enchaîne les boucles, multiplie les improvisations au caval, violon et clarinette des Balkans, revisite la musique de ses ancêtres d’une façon personnelle et excentrique. Accrochez vos ceintures!

En rue, en salle, ou au détour d’un sentier, Vlad Lăutarescu propose une escale où le passé et le futur se conjuguent le temps d’un instant